Lors d'un meeting tenu hier, dimanche 3 décembre, le président du parti Harak Tounes Al Irada, Moncef Marzouki, a indiqué que l'année 2017 était celle de la "hausse des prix et absence de semences".
Selon lui, ces trois dernières années ont été marquée par l'absence des réformes nécessaires. "La crise va s’aggraver au cours des deux prochaines années", a-t-il ajouté. "La Tunisie est confrontée à trois crises graves, la première étant politique entre les présidences de la république et du gouvernement, à propos des élections présidentielles de 2019”. Les deux autres crises étant économique et morale.
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