Intervenant, hier mercredi 6 avril, sur la chaîne nationale, Moez Joudi président de l'Association Tunisienne de Gouvernance, a considéré la Tunisie comme étant un paradis fiscal. Il a indiqué dans ce sens que 54% de l’économie nationale est parallèle, échappant au contrôle de l’Etat.
Des barons qui effectuent des transactions estimées à des millions de dinars, échappent aux impôts, a-t-il déclaré.
Revenant sur le scandale planétaire Panama Papers, joudi a précisé que ces milliardaires recourent aux paradis fiscaux pour repartir les risques.
« Certains utilisent également des offshores pour financer des affaire suspectes qui porte même sur le terrorisme », a-t-il encore expliqué.
KJ