Le nouveau chef du gouvernement selon l'UGTT, l'UTICA et l'UTAP

Le nouveau chef du gouvernement selon l'UGTT, l'UTICA et l'UTAP
National
print



Le président de la République, Kais Saied, a entrepris une série de rencontres, ce vendredi 17 janvier 2020, entrant dans le cadre des concertations en rapport avec la formation du prochain gouvernement. Il s'est réuni avec le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi. ce dernier a exprimé le vœu que le choix du président de la République se porte sur une personnalité à la hauteur des attentes des Tunisiens. Le secrétaire général de l'UGTT a affirmé, en marge de sa rencontre que "les échéances sociales et nationales du pays dictent la conjugaison des efforts", car, a-t-il expliqué, "notre pays a besoin d’une compétence capable de fédérer tous les Tunisiens, d’assurer leur sécurité et de venir à bout de la précarité de l’emploi", rapporte l'agence TAP. Le chef de l'Etat a également rencontré le président de l’UTICA, Samir Majoul. Ce dernier a souligné l’impératif de former un gouvernement composé des meilleures compétences tunisiennes ayant un rayonnement national et international. Il a notamment appelé à la formation d’un gouvernement composé de "compétences indépendantes des partis politiques", souligne la Présidence de la République sur sa page officielle Facebook. Enfin, Kais Saied, s'est entretenu avec le président de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (UTAP), Abdelmajid Ezzar. Ce dernier a déclaré à l'agence TAP avoir discuté du profil du prochain chef du gouvernement lors de son entretien avec le président de la République. Il a déclaré, selon un communiqué publié au terme de cet entretien par la présidence de la République, que la personnalité choisie "doit être une élément rassembleur pour toutes les couches de la société, doit œuvrer pour un changement du modèle de développement, et être capable de prendre des décisions audacieuses pour sauver le pays, en particulier au niveau économique et social".



Commentaires

André Parant juge nécessaire de préserver les acquis démocratiques en Tunisie

Précédent

Tunisie : La 5G lancée en novembre 2024

Suivant