La date des élections présidentielles anticipées, fixée officiellement au 15 septembre, n'a pas plu au ministère de l'Education. Ce dernier a estimé que cette décision retardera la rentrée scolaire de 3 jours et induira des soucis organisationnels.
Le ministre de l’Education, Hatem Ben Salem, a également fait savoir que cette date portera préjudice à la rentrée scolaire et a été décidée sans concertation avec le ministère qui accueillera les centres électoraux.
S'exprimant à l'agence TAP, Ben Salem a rappelé que l’élection présidentielle exige une mobilisation logistique et nécessite "un minimum de concertation à un moment où les institutions éducatives s’apprêtent à accueillir plus de 2 millions 100 mille élèves."