Délaissé, quasiment abandonné, l’hôtel du lac tombe en ruines et de profil, ressemble un peu aux palmiers ététés de l’avenue Mohamed V.
Alors que la structure devient branlante et que de nombreuses fenêtres sont défoncées, des briques bouchent l’entrée de ce qui fut le restaurant touristique.
Dans l’indifférence, ce symbole de l’architecture brutaliste des années soixante se meurt. Seuls les militants de la société civile semblent engagés pour sauver ce qui pourrait encore l’être.