Selon l’agence TAP, le prĂ©sident tunisien par intĂ©rim Foued Mebazaa a reçu aujourd’hui, au palais de Carthage, l’ancien ministre de l’IntĂ©rieur, Farhat Rajhi.
Suite Ă cette entrevue, il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© de le nommer PrĂ©sident de la Commission SupĂ©rieure des Droits de l’Homme et des LibertĂ©s Fondamentales.
Depuis que le premier ministre CaĂŻd Essebsi a dĂ©clarĂ©, lors d’une interview tĂ©lĂ©visĂ©e donnĂ©e aux chaĂ®nes tunisiennes, nationales et privĂ©es, qu’une mission plus importante attendait l’ancien ministre de l’IntĂ©rieur, plusieurs hypothèses et affirmations sur les nouvelles fonctions ont Ă©tĂ© Ă©mises.
Ceci dit, selon des experts juristes, la nouvelle fonction de Rajhi constitue un double emploi avec celui qu’il exerce Ă la ligue tunisienne des droits de l’homme. Ce choix est-il judicieux ?
