Leur vérité est-elle la nôtre. Ils se sont accaparés la statue de la liberté, ont formalisé la déclaration Universelle des Droits de l’Homme : d’une réalité à un leurre des valeurs humaines partagées.
Ils nous ont bernés, avec une histoire faussée, avec une réalité biaisée, on continue de chercher l’arme de destruction massive de feu Colin Powell. L’Irak a été détruite, ses richesses, ses vestiges rapatriées dans les musées américains.
N’oublions pas le 13 novembre 1974 à l’ONU, un certain Arafat avait symboliquement et en image, brandit dans sa main gauche, un rameau d’olivier et dans l’autre, un fusil de combattant, en priant l’assistance de ne pas laisser tomber le rameau…
Une autre actualité, non médiatisée et pour cause, dénote les ratonnades en pleine nuit, des colons sionistes venus dans des villages palestiniens, déraciner des oliviers et tuer des villageois, histoire banale qui se répète depuis plus de 40 ans.
Œil pour œil rendra le monde aveugle, l’obscurité bat son plein, la lumière est coupée, l’atrocité gagne les deux terrains, sans distinction, de nombreux innocents.
Mais à vrai dire, peut-on rester innocent dans un conflit qui a toujours chéri un « Peuple Elu » par rapport à un habitant bafoué, meurtri et privé de sa maison natale.
N. Zarrouk