A en croire la presse belge et le journal « La Meuse », dans sa version électronique, le leader d’Ennahdha, Walid Bennani, serait «arrivé en 1992 en Belgique, muni de faux papiers afin d’y obtenir l’asile politique. Il s’installera à Liège avec sa femme, ses trois enfants et une de ses belles-filles.
Des années plus tard, il se fera même embaucher par le CPAS (Centre public d’action sociale) de la Ville de Liège ». Ville où il est toujours domicilié en Belgique, dans le quartier nord.
Le journal parle d’un coût de 324.000 euros sur la base d’un « calcul fait avec l’aide d’un spécialiste ». L’actuel député à l’ARP a été accueilli par la Belgique pendant 18 ans.
«Du 1er juin 2004 au 30 novembre 2005, ce travail (à la CPAS) était rémunéré à hauteur d’approximativement 1500 euros par mois. Durant ce laps de temps, le CPAS de la Cité ardente l’a donc rémunéré pour un total de 27.000 euros. Auparavant, soit de la mi-1992 à la mi-2004, il a bénéficié du «minimex» et des allocations familiales garanties… », rapporte le journal qui qualifie Ennahdha de parti « extrémiste » et Bennani de « dangereux islamiste ».
M.Z.