Lotfi Hedhli, directeur général de l'Unité de gestion chargé du projet "Amen Social", au sein du ministère des Affaires sociales, a indiqué ce lundi qu'une discrimination positive avait été adoptée dans ce programme.
S'exprimant sur Express fm, il a souligné qu'il s'agit d'une version développée et améliorée des anciens programmes mis en œuvre par l'État depuis un certain temps, ajoutant que l'objectif de ce programme est de fournir un niveau de vie suffisant.
Le programme incluent environ 900 mille familles pauvres et à faible revenu, a déclaré le responsable qui a indiqué que jusqu'à présent, seules 540 000 familles se sont inscrites.
Il a appelé les familles concernées à mettre à jour leurs données au département des affaires sociales le plus proche.
Rappelons-le, Amen social vise, essentiellement, à garantir un revenu minimum et la promotion des conditions de vie, à travers l’amélioration de l’accès aux services de base (santé, éducation, formation, emploi, logement).
Il a également pour objectif de renforcer les mécanismes d’intégration et d’autonomisation économique, de lutter contre la marginalisation et de consacrer l’égalité des chances, l’équité et la solidarité.
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