Conférence Internationale : Investir en Tunisie «Start-up Democracy»

Conférence Internationale : Investir en Tunisie «Start-up Democracy»
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MISE A JOUR 02-09-2014 - Trente pays, 50 personnalités étrangères, des multinationales et institutions économiques et financières, prendront part, le 8 septembre prochain à une conférence internationale qui se tiendra à Tunis, a annoncé la présidence du gouvernement dans un communiqué.22 projets présentés aux bailleurs de fonds Lors d’une réunion préparatoire à la conférence internationale «Investir en Tunisie, start-up démocratie», 22 projets, dont 4 qui seront réalisés dans le cadre d’un partenariat public/privé (PPP), ont été présentés aux participants. Ces 22 projets, d’un coût total estimé à 5734 millions de dinars (hors projets en PPP), et présentés par le gouvernement tunisien aux représentants des institutions financières internationales, ont été sélectionnés sur la base du niveau de préparation pour exécution immédiate et la rentabilité économique et sociale, a indiqué l’agence TAP. Selon Noureddine Zekri, secrétaire d’Etat au développement et à la coopération internationale, cette réunion préparatoire a permis au gouvernement tunisien de présenter les principaux volets de sa stratégie de développement économique pour les prochaines années. Débats autour des opportunités d'investissements La conférence a été placée sous le thème «Investir en Tunisie Start-up Democracy» et les débats tourneront autour des opportunités d’investissement offertes en Tunisie dans les domaines de l’industrie, l’énergie, l’agriculture, le commerce et les nouvelles technologies. Ce rendez-vous vient à suite d'une série de consultations et visites effectuées par le chef du gouvernement Mehdi Jomaâ en Algérie, au Maroc, dans les pays du Golfe, aux Etats-Unis, en France et en Allemagne. Levée de fonds pour la Tunisie La présidence du gouvernement annonce la création d’un site (www.itsud.tn) à l’occasion de cette conférence internationale. C'est au cours de sa visite aux États-Unis en avril dernier, que Mehdi Jomaâ a parlé pour la première fois de la Tunisie en tant que «start-up democracy» pour un pays à fort potentiel de croissance et qui doit faire l'objet de levée de fonds.



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