On l'avait oublié ce look nonchalant de l'avenue Bourguiba à l'époque où elle se prêtait encore à la promenade.
La coutume voulait alors que les promeneurs déambulent de la statue d'Ibn Khaldoun à celle de Bourguiba.
On flânait alors entre les stands des fleuristes et les kiosques à journaux tous disparus de nos jours.
Les promeneurs étaient nombreux et l'atmosphère toujours bon enfants sur le Cours des ficus centenaires.
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