Lors d’une conférence tenue ce jeudi 19 septembre, le président de l’Instance Nationale de la Lutte contre la Corruption, Chawki Tabib a reconnu que le premier tour des élections présidentielles a connu plusieurs dépassements, dont certains qui peuvent être considérés comme délits électoraux.
A cet effet, Tabib a affirmé que certains délégués et maires ont essayé d’influencer les choix électoraux des électeurs lors du jour de vote, dimanche dernier, en les incitant à voter pour certains candidats.
« Il y a comme une sorte de culture d’impunité qui est généralisée lorsqu’on évoque ces délits », a-t-il encore reconnu.