Présidée par le chef du gouvernement, la cellule de coordination sécuritaire et de suivi, a décidé ce mardi 9 février, le renforcement de la présence militaire et sécuritaire sur la frontière tuniso-libyenne.
« La menace terroriste qui pèse sur la sécurité nationale commande de faire preuve de vigilance et de ne pas entraver les efforts des forces de sécurité et de l’armée dans leur combat contre le terrorisme », a-t-on expliqué.
Cette décision a été prise suite à une réunion de la cellule de coordination sécuritaire et de suivi, qui a été consacrée à l’examen de la situation sécuritaire dans le pays et les derniers développements en Libye à la lumière de la prolifération du groupe Daech dans ce pays et les tentatives d’infiltration d’éléments terroristes sur le sol tunisien, rapporte l’agence TAP.
KJ