Selon l’Agence Tunis Afrique Presse (TAP), les sociétés étrangères, implantées en Tunisie, ont repris, en grande majorité, leurs activités malgré les difficultés et autres revendications sociales auxquelles elles continuent à faire face.
Ces investisseurs étrangers ont un rôle prépondérant à jouer pour que l’économie de notre pays reprenne son cours tout en préservant des milliers d’emplois.
L’UGTT entend, d’ailleurs, rassurer les investisseurs étrangers sur le fait que la démocratie et la transparence, auxquelles s’activent toutes les parties, ne peuvent avoir qu’un impact positif sur les investissements dans le pays.
Cette nouvelle est d’autant meilleure que selon le quotidien La Presse, dans son édition du dimanche 6 février 2011, a révélé les vrais chiffres du chômage en Tunisie lesquels n’ont jamais été rendus publics. Ainsi, en 2009, le taux de chômage chez les diplômés de l’enseignement supérieur était estimé à 45% !
Un chiffre qui donne le tournis et qui dérangeait incroyablement les hauts responsables de l’Etat. A l’époque, le chiffre officiellement cité parlait de 22,5% de chômeurs parmi ces jeunes diplômés.
Un air nouveau est en train de souffler sur la Tunisie. Profitons-en alors pour trouver des solutions radicales à ce grave problème du chômage, maintenant que toutes les cartes sont sur la table. Les investisseurs étrangers joueront sans doute un rôle clé…