La députée et membre de la commission parlementaire d’enquête sur les réseaux d’envoi des jeunes vers les zones de conflit Leila Chettaoui, a déclaré ce mardi 12 décembre, que ces réseaux sont également impliqués dans le trafic des stupéfiants, des armes, voire des êtres humains d’origine subsaharienne.
Evoquant le retour des terroristes tunisiens des zones de conflit, Leila Chettaoui a indiqué que ces jihadistes seront incarcérés dès leur retour. Cependant, elle a souligné que plusieurs terroristes revenant en Tunisie sont inconnus, d’où la difficulté de traiter leurs dossiers.