« Si les Anglais hésitent à aller voir une comédie le samedi soir, c’est qu’ils ont peur d’en rire à l’office du dimanche ». Peter Ustinov.
Notre article « Les frais de visa multipliés par deux » continue de susciter les réactions sur la toile. Ceux qui l’ont appris à leurs dépens, comme c’est le cas de l’étudiant qui a déposé une demande de visa pour la Belgique, confirment la version des faits, alors que d’autres insistent sur le fait que les frais n’ont pas augmenté.
Dans ce propos, nous ne sommes pas dans le justificatif encore moins dans la réplique, partant du principe auquel nous nous attachons tant et qui dicte notre ligne éditoriale : l’information est sacrée, le commentaire est libre.
Ceci dit, nous invitons, amicalement, ceux et celles qui ont douté de notre information, à savoir que les frais de visa et les frais de service sont passés du simple en double, à relire, l’article parue en date du lundi 23 janvier et dans lequel nous n’avons, à aucun moment, mentionné que les tarifs relatifs aux frais de visa et aux frais de service ont changé.
Nous avons seulement relaté les faits tels que décrits par notre concitoyen, documents à l’appui, et qui montrent, noir sur blanc, qu’il a payé 700 dinars, alors qu’il était question de 340 dinars, quelques jours auparavant. Les frais, comme nous l’avions mentionné, sont passés du simple au double. Nous n’avons rien inventé.
Qu’il s’agisse de frais additionnels découlant du dépôt de la demande le week-end ou de toute autre raison saugrenue, cela ne change rien à la donne. Ceci est une pirouette dont nous ne maîtrisons pas l’art.