Les demandes de libération des détenus dans l’affaire des réseaux d’envoi de jeunes dans les zones de tension ont été rejetées par la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme au tribunal de première instance de Tunis. L’examen de l’affaire relative aux réseaux de « recrutement » a également été reporté.
La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme au tribunal de première instance de Tunis a reporté l’examen de l’affaire relative aux réseaux de « recrutement » et refusé la libération des accusés, actuellement détenus.
Parmi les accusés détenus dans le cadre de cette affaire figurent notamment Ali Laarayedh, Abdelkrim Laabidi, Fethi Baldi et le porte-parole du groupe interdit Ansar Al-Chariaa, Seifeddine Erraies.
A l’issue d’une audience au cours de laquelle les avocats de certains accusés ont demandé un report et présenté des requêtes préparatoires, ainsi que des demandes de libération pour leurs clients, la chambre a décidé de rejeter les demandes de libération des accusés détenus, de fixer une date ultérieure pour poursuivre l’examen du dossier, et d’accepter certaines demandes « préparatoires ».
