Il compte parmi ceux qui ont fait les beaux jours de l’Espérance.
Et s’il n’a pas soulevé autant de titres qu’aujourd’hui, Chedli Aouini a laissé l’image d’un joueur exceptionnel.
Attaquant rusé et véloce, il était insaisissable et semait la panique dans les défenses adverses.
Aouini a milité dans les rangs espérantistes jusqu’au début des années soixante-dix.
Aujourd’hui, il coule des jours heureux et se souvient des années dorées du stade Zouiten lorsque le public prononçait le fameux « Aouini gassa, hmem y ferr » pour saluer ses exploits.
