"La montée de certaines parties politiques, réputées pour leur discours violent, aux dernières élections législatives aura de graves conséquences sur les libertés où cas où ces dernières seraient associées dans la gouvernance", a averti le porte-parole de l'Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), Sami Tahri.
Dans une déclaration à la TAP, Tahri a considéré que "la participation à la gouvernance du pays de courants tenant un discours extrémiste pourrait mener à la violence et entrainer une crise politique, sociale et économique globale", ajoutant que "certaines forces politiques, dont notamment la" Coalition El Karama" et le" Parti Errahma", "adopte un discours liberticide hostile aux droits civiques".
Il a accusé ce qu'il a qualifié de "forces hostile à la liberté" de "profiter du climat démocratique en Tunisie pour prendre les libertés en otage et instaurer la tyrannie", selon lui, estimant que les craintes de voir ces libertés altérées après la montée de ces forces à la législature, sont aujourd'hui réelles".
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