… Pas l’Etoile du Sahel, naturellement, il doit la détester à mort.
S’il y a un mois de l’année qui résume la vie de l’homme fort de l’Espérance sportive de Tunis, c’est bien le mois de janvier.
Si janvier était un marabout, faudrait, peut-être lui apporter des offrandes et pour cause : c’est un 13 janvier 2011 (le jour de son 52ème anniversaire) qu’il a réussi à fuir la Tunisie, quelques heures avant la chute de son beau-père, un certain 14 janvier 2011.
C’est un 12 janvier 2016 qu’il a été libéré, soit deux jours avant la célébration, le 15 janvier 2016, du 97ème anniversaire de l’Espérance.
Un vieil adage dit : « Entre le 10 et le 20 janvier, les plus contents sont les drapiers ». Il n’y a pas que les drapiers !
A.B.A.