Durant les années qui ont suivi les événements de la révolution, les opérations terroristes se sont intensifiées pendant le mois saint.
En effet, en 2013, par exemple, la Tunisie a connu un deuxième assassinat politique. Il s’agit de Mohamed Brahmi, député à l’Assemblée Nationale Constituante qui a été assassiné devant chez-lui pendant le Ramadan.
L’une des pires attaques contre l’institution militaire est survenue également pendant le mois saint quand des terroristes ont tué quinze soldats au moment de la rupture du jeûne au mont Chaambi.
Il y a un an, l’économie tunisienne a subi un coup dur avec un attentat visant un hôtel à Sousse et tuant 39 touristes, toujours pendant le Ramadan.
Cette année et grâce aux efforts de nos agents de sécurité et nos soldats, la Tunisie est parvenue à sécuriser cette période sensible surtout avec l’existence de plusieurs plans terroristes.
KJ