Le porte-parole de la direction générale des prisons et de la rééducation, Ramzi Kouki a indiqué qu’une phase de test pour l’utilisation des bracelets électroniques sera entamé l’année prochaine.
« Cette phase de test sera de trois mois. L’idée est de trouver une alternative à la prison et réduire l’engorgement des prisons et centres pénitentiaires », a-t-il précisé au micro de Cap fm, ce jeudi 22 décembre 2022.
Les bracelets électroniques seront testés, lors de cette phase expérimentale, dans les prisons ouvertes et lors des transferts des détenus. Une fois validé, le processus sera utilisé par les juges pour substituer au placement en garde à vue ou à l’application des mandats de dépôt.
Il est à noter que le régime de placement sous surveillance électronique a été officiellement adopté en juin 2020 par un décret-loi.