Le sabot de Denver est devenu l’ennemi juré des festivaliers.
La vidéo est devenue virale et la colère de ceux et celles qui se sont confrontés à cette situation est indescriptible. Et on peut comprendre pourquoi.
Samedi 5 août, à leur sortie du gala animé par Ragheb Alama, à l’amphithéâtre de Carthage, des dizaines de citoyens ont eu la désagréable surprise de trouver le sabot de Denver accroché à leurs voitures.
Ce qui devait être une soirée de gala s’est transformée soudain en cauchemar. Des familles entières, pour la plupart de la gent féminine, se sont trouvées, au milieu de la nuit, dans l’impossibilité d’utiliser leurs voitures.
De plus, elles n’ont aucune idée de la procédure à suivre pour se « débarrasser » de cet objet abject.
Quand les agents, chargés de cette mission, daignent enfin à se manifester elles étaient déjà passées par toutes les sensations : colère, indignation, frustration, dégoût. Aux antipodes de ce que devait susciter en eux un gala de Ragheb Aalama.
Ces agents, qui roulent pour des sociétés privées, vous expliquent qu’ils ont mis le sabot parce que les voitures étaient stationnées sur les trottoirs !
Quand il n’y a pas des parkings aménagés pour la circonstance (ou pas assez de places), où est-ce que les festivaliers gareront leurs voitures.
Au 7ème ciel ?
Ramzi