Un grand mouvement de contestation a eu lieu, ce lundi 4 avril 2016, devant le ministère de l’Emploi. Certains protestataires sont allé jusqu’à se flageller pour dénoncer la violence policière à leur encontre, selon eux.
Joint par Webdo, Wajdi Khadraoui, porte-parole du sit-in a déclaré que les contestations ont commencé dès le 12 février 2016 à l’issue d’une réunion avec les ministères de l’Emploi et du Développement , réunion qui a été sans suite. Wajdi Khadhraoui insiste pour rappeler que le ministre de l’Emploi leur a dit mot à mot : « Je n’ai pas de solutions ».
(function(d, s, id) { var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) return; js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = « //connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js#xfbml=1&version=v2.3″; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));الان من امام وزارة التشغيلالان من امام وزارة التشغيليا معذبهمPosté par يا معذبهم sur lundi 4 avril 2016
[pull_quote_center] »Un représentant de chaque délégation de Kasserine est venu pour présenter nos revendications ainsi que nos idées. Mais personne n’a envie de nous écouter », rétorque Wajdi.[/pull_quote_center]
En ce qui concerne les troubles qui ont eu lieu d’aujourd’hui, le porte-parole du sit-in a précisé que « deux représentants sont venus faire part de leurs revendications au ministère mais la police s’est montrée violente envers eux ». « Pour réagir, nos amis se sont flagellés ».
Wajdi précise : « Nous, jeunes de Kasserine, on n’aime pas la violence. On n’est pas venu ici pour attaquer la police ».
B.Z.