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Cannes 2023 – Quatorze films arabes sélectionnés dans les diverses sections du festival

par Neïla DRISS
mardi 16 mai 2023 09:03
dans Culture
Cannes 2023 – Quatorze films arabes sélectionnés dans les diverses sections du festival
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Cannes 2023 – Dans quelques heures débutera le 76ème festival de Cannes qui se déroulera du 16 au 27 mai 2023. La sélection des films cette année est exceptionnellement diversifiée, mettant en avant de nombreuses réalisatrices (7 en compétition officielle, ce qui est un record !), de jeunes talents prometteurs, ainsi que des grands noms du cinéma et la participation de cinéastes de plusieurs pays, dont certains, comme la Moldavie, seront à Cannes pour la première fois. Toutefois, la participation record de 14 films arabes, dont neuf longs et cinq courts métrages, répartis dans la quasi-totalité des sections officielles et parallèles du festival, est particulièrement notable.

Cette présence arabe est-elle le reflet de l’évolution du cinéma arabe ces dernières années, qu’il s’agisse de pays de tradition cinématographique comme l’Égypte, le Liban et la Tunisie, ou de pays plus récents comme le Soudan et la Jordanie, ou bien est-ce une nouvelle initiative du festival, peut-être sous l’impulsion de sa nouvelle présidente, pour promouvoir une vision plus mondiale du cinéma et transcender les frontières du cinéma occidental ?

 

Les films arabes participant au 76e Festival de Cannes :

En compétition officielle :

1/ Les filles d’Olfa de Kaouther Ben Hania (Tunisie)

 

Depuis 2014, Kaouthar Ben Hania est devenue une habituée du Festival de Cannes. Elle y revient pour la troisième fois avec un film (Le Challat de Tunis en 2014 et La Belle et la meute en 2017) et y a été membre de jury à deux reprises en 2021 et 2022.

Les filles d’Olfa est sa première sélection en compétition officielle, et d’ailleurs c’est la première fois depuis 1970 qu’un film tunisien est sélectionné dans cette compétition. Cette fois-ci, elle sera accompagnée de Hend Sabry, qui incarne un vrai personnage, Olfa, la femme dont les filles sont parties rejoindre daech. Officiellement, les filles d’Olfa est un documentaire, mais avec Kaouther Ben Hania, on peut s’attendre à un film particulier, qui pourrait se situer entre la fiction et le documentaire ou même prendre une autre forme inventée par la réalisatrice, qui essaye à chacun de ses films de concevoir une « structure » particulière et personnelle. Le terme structure est d’ailleurs approprié, elle a bien déclaré lors d’une interview qu’elle concevait ses films comme une architecte et non pas une réalisatrice !

Synopsis :
La vie d’Olfa, Tunisienne et mère de 4 filles, oscille entre ombre et lumière. Un jour, ses deux filles aînées disparaissent. Pour combler leur absence, la réalisatrice Kaouther Ben Hania convoque des actrices professionnelles et met en place un dispositif de cinéma hors du commun afin de lever le voile sur l’histoire d’Olfa et ses filles. Un voyage intime fait d’espoir, de rébellion, de violence, de transmission et de sororité qui va questionner le fondement même de nos sociétés.

 

Dans la section Un Certain Regard :

2/ Goodbye Julia de Mohamed KORDOFANI (Soudan)

 

Avec Goodbye Julia, le réalisateur Mohamed Kordofani marque l’histoire du cinéma soudanais en réalisant le tout premier film du pays à être sélectionné pour participer au prestigieux Festival de Cannes.

Goodbye Julia a bénéficié d’un financement et d’une production étalés sur plusieurs années, ce qui lui a permis de se forger une excellente réputation grâce à son histoire captivante. Le scénario raconte des faits inattendus qui croisent le destin d’une famille aisée de Khartoum avec celui de pauvres prisonniers du Sud, durant le dernier mois avant le référendum sur la partition du Soudan. Véritable drame shakespearien, le plus grand défi pour le réalisateur est de trouver la meilleure façon de présenter l’histoire et d’exprimer la situation qui prévaut dans le pays à cette époque.

Synopsis :
À la veille de la division du Soudan, Mona, ex-chanteuse Nord soudanaise, cherche à se racheter d’avoir accidentellement causé la mort d’un homme sud soudanais, en accueillant la veuve du défunt, Julia, originaire du Soudan du Sud, avec son fils Daniel.

 

3/ Les Meutes de Kamal Lazraq (Maroc)

Les meutes est écrit et réalisé par Kamal Lazraq également connu pour L’Homme au chien (2014) et Drari (2011).

Synopsis :
Dans les faubourgs populaires de Casablanca, Hassan et Issam, père et fils, vivent au jour le jour, enchaînant les petits trafics pour la pègre locale. Un soir, ils sont chargés de kidnapper un homme. Lorsque cet enlèvement tourne mal, ils doivent trouver un moyen de se débarrasser du corps. Commence alors une longue nuit à travers les bas-fonds de la ville…

4 / Kadib Abyad (La mère de tous les mensonges) d’Asmae El Moudir (Maroc)

 
Deuxième documentaire arabe en sélection officielle, ce qui est très très rare. Cela prouve que les deux cinéastes ont réalisé une prouesse artistique. Lors de la conférence de presse donnée par Thierry Frémaux lundi 15 mai, il s’était exprimé sur ces choix de documentaires, et sa réponse était évidente : il y a de très beaux documentaires, qui parfois sont non seulement intéressants par le sujet, mais aussi par la forme ou l’expression artistique de leurs auteurs, qu’ils méritent amplement d’être dans les diverses sections du festival de Cannes.

La réalisatrice part de la seule photographie qui lui reste de son enfance, et commence à discuter avec sa famille, essayant de rechercher un secret indicible dans le passé familial et le passé de tout le pays. Pour cela, elle mélange les médias, utilise la marionnette avec des documents d’archives pour présenter son voyage de découverte de la réalité et ce qui reste des horreurs du passé.

Synopsis :
Un tissu de mensonges familiaux et une jeune femme à la recherche de la vérité.
A travers sa propre voix, Asmae, fille et cinéaste, oscille entre histoire nationale et histoire personnelle pour raconter les émeutes du pain en 1981 et montrer comment cet événement est relié à la société marocaine contemporaine.

 

Dans la section Séances de minuit :

5/ Omar la Fraise de Elias Belkeddar (Algérie)

Participation inhabituelle pour un film arabe dans la section que Cannes réserve habituellement aux films de genre : horreur, action, crime….

Le film est réalisé par Elias Belkeddar, producteur, réalisateur et scénariste franco-algérien connu pour Todo se puede (2014),  Un jour de mariage (2018), qui sélectionné à la Semaine de la Critique, avait remporté le Prix Canal+ du court métrage et DJ Snake : Disco Maghreb (2022).

Synopsis :
Omar, plus connu sous le nom d’Omar la Fraise, est un bandit à l’ancienne. Contraint à la cavale en Algérie, il vit de petites magouilles, accompagné de son illustre acolyte Roger.
Après avoir régné sur le milieu du banditisme français durant des décennies, ils doivent ensemble accepter leur nouvelle vie alors qu’ils n’ont vécu jusqu’à présent que dans la débauche et la violence.

 

La Semaine de la Critique :

6/ Inshallah Walad de Amjad Al Rasheed (Jordanie)

 
Inshallah Walad, premier long métrage jordanien de l’histoire à participer au Festival de Cannes, et malgré son titre plutôt misogyne et bien qu’il soit réalisé par un homme, est un film féministe, qui traite d’un sujet brulant dans les pays arabo-musulmans : les règles de succession, très très injustes en ce qui concerne les femmes.

Synopsis :
Jordanie, de nos jours. Après la mort soudaine de son mari, Nawal, 30 ans, doit se battre pour sa part d’héritage, afin de sauver sa fille et sa maison, dans une société où avoir un fils changerait la donne.

 

7/ I promise you paradise de Morad Mostafa (Égypte)

Le court métrage I Promise You Paradise est écrit et réalisé par le cinéaste égyptien Morad Mostafa. Mostafa a travaillé dans plusieurs films indépendants et a collaboré en tant que réalisateur exécutif dans le film Souad qui a été sélectionné en sélection officielle au Festival de Cannes 2020.

Morad est un ancien du Berlinale Talents Campus et de la Locarno Academy. Il développe actuellement son premier long métrage Aisha Can’t Fly Away Anymore à la Cinéfondation, la résidence du Festival de Cannes, ainsi qu’au Torino Film Lab et au Rotterdam Lab IFFR.

Synopsis
Après un violent accident, Eissa, un jeune migrant de 17 ans venu d’Afrique se bat contre la montre en Égypte pour sauver ses proches, peu importe le prix à payer.

 

La Quinzaine des cinéastes (Ex-Quinzaine des Réalisateurs) :

8 / Déserts de Faouzi Bensaïdi (Maroc)

 
Metteur en scène de théâtre et acteur, Faouzi Bensaïdi réalise en 1997 son premier court métrage multiprimé, La Falaise. Puis, il coécrit Loin avec André Téchiné. En 2000, il réalise deux courts métrages : Le Mur, présenté à la Quinzaine et Trajets, primé à la Mostra de Venise. Son premier long métrage, Mille mois, reçoit les Prix Le premier regard et De la jeunesse à Un Certain Regard. Suivront WWW – What a Wonderful World à la Mostra de Venise, et Mort à vendre, Prix Art et Essai à la Berlinale et ce nouveau long métrage Déserts.

Synopsis :
Pieds nickelés marocains du surendettement, Mehdi et Hamid sillonnent en voiture et en costards cravates froissés le sud du pays. Leur mission : recouvrir pour leur agence les arriérés d’emprunts que n’ont pas honorés de pauvres bougres accablés par la misère et la sécheresse du désert, dans des villages de nulle part. Mêlant comédie et road-movie, le film prend un tour de western et même de quête initiatique lorsque les deux mercenaires désabusés, eux-mêmes mis sous pression, croisent la route d’un bandit de grand chemin.

 

9/ La mer Rouge me donne envie de pleurer de Faris Alrjoob (Jordanie)

Ce court métrage de 21 minutes a été tourné en 16 mm dans une ville reculée du sud de la Jordanie.

Synopsis :
Une Allemande se rend dans la ville, au bord de la mer Rouge, où son compagnon arabe vient de trouver la mort. Par-delà le récit de deuil, l’invention, par un jeune cinéaste jordanien, d’un port spectral qui peut avoir des accents durassiens : à la fois la mort d’un homme et d’une cité. L’odyssée se résorbe dans un bar d’hôtel, et une chanson de variété orientale.

 

10/ The house is on fire, might as well get warm (La maison brûle, autant se réchauffer) de Mouloud Aït Liotna (Algérie)

Axxam yargha, maqar anesahmu ( La maison brûle, autant se réchauffer), moyen métrage de 43 minutes et premier film de Mouloud Aït Liotna, a été tourné dans la région d’At Mlikech dans la willaya de Béjaïa. L’équipe technique et artistique du film est exclusivement algérienne.

Synopsis :
Yanis, un jeune Kabyle, part demain pour Paris. Il rallie la petite ville locale pour régler ses dernières affaires. Il y apprend la mort d’un ami d’enfance, en rencontre un autre à l’enterrement. Une mésaventure au café transforme cette dernière journée au bled en galère et en road-movie, d’abord désespéré, puis pensif et mélancolique, dans une Algérie terreuse et détrempée.

 

La section ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion):

L’ACID a sa propre programmation au Festival International du Film de Cannes depuis 1993. Elle y présente des longs métrages programmés par une quinzaine de cinéastes de l’association parmi plusieurs centaines de films en provenance du monde entier.

Ces films de fictions et documentaires, parfois auto-produits, souvent des premiers longs métrages, sont choisis par les cinéastes avec la volonté de donner de la visibilité à des auteurs, souvent sans distributeur, afin de faciliter la sortie de leurs films en salles.

Pour cette édition 2023, deux documentaires arabes ont été sélectionné dans cette section ACID :

11/ Machtat de Sonia Ben Slama (Tunisie)

Sonia Ben Slama est une documentariste franco-tunisienne, née en 1985. En 2015, elle réalise en Tunisie son premier long-métrage documentaire Tout est écrit. Son deuxième film,  Machtat, également tourné en Tunisie, est en compétition internationale à Visions du Réel (Nyon). Elle développe actuellement un nouveau projet documentaire 316 North Main Street, tourné aux États-Unis.

Synopsis :
Mahdia, Tunisie. Fatma et ses filles, Najeh et Waffeh, travaillent comme « machtat », musiciennes traditionnelles de mariage. Tandis que l’ainée, divorcée, tente de se remarier pour échapper à l’autorité de ses frères, la plus jeune cherche un moyen de se séparer de son mari violent.

 

12/ La Mer et ses vagues de Liana & Renaud (Liban)

Liana et Renaud ont grandi respectivement dans la capitale libanaise et la campagne française. Ils se rencontrent à Paris en 2007. Ils s’installent à Beyrouth et achètent une caméra Super 16mm. Suivront des essais et des courts, écrits et réalisés à quatre mains entre les deux pays.  La mer et ses vagues est leur premier long métrage. Les deux réalisateurs disent que leur objectif principal était « d’explorer la fine frontière entre le drame et le rire, entre la gravité et la folie que l’on trouve dans les rues de Beyrouth, en essayant de trouver les raisons pour lesquelles chacun sent que la ville cause sa douleur« .

Synopsis :
Par une nuit de pleine lune, la jeune Najwa et le musicien Mansour se rendent à Beyrouth. Ils suivent la piste des passeurs pour rejoindre une femme de l’autre côté de la mer. À quelques rues de là, Selim, le gardien de l’ancien phare, tente de réparer l’électricité de son quartier. 

 

La sélection des Courts métrages et de La Cinef :

13/ Al Toraa’ (L’appel du ruisseau) de Jad Chahine (High Cinema Institute – Égypte)

 

Jad Shaheen succède dans cette sélection à son compatriote Omar Al-Zuhairi, qui y avait participé en 2014, avec son court métrage satirique La Suite de l’inauguration de toilettes publiques au kilomètre 375.

Jad Chahine est un cinéaste indépendant égyptien. Né en 1996, il a étudié le cinéma à l’Institut supérieur du cinéma et à l’Académie des arts du Caire, dont il sort diplômé en 2018.

El-Toraa suit un jeune garçon qui se rend dans un ruisseau maudit et assiste à quelque chose qui scellera son destin.

 

14/ Ayyur de Zineb Wakrim (ÉSAV – École Supérieure des Arts Visuels de Marrakech – Maroc)

 

Le film se déroule dans la culture amazighe, sur des enfants nés avec une sensibilité aux rayons ultraviolets, ce qui fait du soleil un danger pour eux, ils passent donc leur vie au clair de lune et en font une source d’inspiration.

Axxam yargha, maqar anesahmu ( La maison brûle, autant se réchauffer) de Mouloud Aït Liotna et Ayyur de Zineb Wakrim représenteront le cinéma d’expression amazighe au Festival de Cannes pour la première fois de l’histoire du festival.

 

Une cinéaste arabe dans le jury de Cannes :

La cinéaste marocaine Maryam Touzani a été annoncée comme membre du jury de la compétition internationale du Festival de Cannes.

Maryam Touzani, a commencé sa carrière en tant que critique de cinéma, elle a ensuite réalisé deux courts métrages remarqués, Quand ils dorment et Aya va à la plage, avant de collaborer avec Nabil Ayouch sur Much Loved et de co-écrire et jouer le premier rôle dans Razzia.

Son premier long métrage, Adam, a été sélectionné à Un Certain Regard au Festival de Cannes en 2019.

Elle collabore ensuite à nouveau avec Nabil Ayouch sur Haut et fort sélectionné en Compétition au Festival de Cannes en 2021.

Maryam Touzani est revenu au festival en tant que réalisatrice avec Le bleu du Caftan en 2022, sélectionné à Un Certain Regard.

Adam, Haut et fort et Le bleu du Caftan ont été présentés par le Maroc à l’oscar du Meilleur Film International en 2020, 2022 et 2023.

Maryam Touzani travaille actuellement sur son premier roman et son prochain long métrage.

 

Prix ​​spécial d’encouragement Angénieux 

La cinéaste égyptienne Haya Khairat recevra le Prix spécial d’encouragement Angénieux au Festival de Cannes.

Le prix est offert pour soutenir les talents émergents de l’industrie cinématographique.

Née en 1995 au Caire, Haya Khairat a étudié la cinématographie au High Cinema Institute of Egypt.

Elle a participé à la production de titres tels que Buying A Man (2017), Afrah AlQoba (2016) et La Totfe’ Al Shams (2017).

 

Présence du Festival International du Film du Caire à Cannes :

Le Festival international du film du Caire (CIFF) participera à trois événements qui auront lieu dans le cadre du prochain Festival de Cannes.

Le président du CIFF, Hussein Fahmy, et le directeur du CIFF, Amir Ramses, se rendront dans la ville française pour représenter le festival au Marché du Film de Cannes (16-24 mai).

Le dimanche 21 mai, le CIFF présentera et soutiendra le film en cours de réalisation du réalisateur Talal Selhami, intitulé The Shelter, dans le cadre de l’initiative Fantastic 7 du Marché du Film de Cannes.

Le mercredi 24 mai, le CIFF, en collaboration avec WorkPlace Options et Sane Cinema, soutiendra un atelier intitulé « Prioriser le bien-être au travail : susciter la conversation parmi les festivals », dans le cadre des activités du Festivals Hub.

En association avec le Festivals Hub, le CIFF soutient l’événement de réseautage « Festivals Mixer » de cette année, qui se tiendra également le mercredi 24 mai, où certains des représentants de festivals, réalisateurs, producteurs et distributeurs les plus prestigieux du monde se réunissent pour se connecter avec d’autres festivals et marchés.
Le Festivals Hub est un programme et un lieu exclusifs au sein du Marché du Film de Cannes, spécialement conçus pour accueillir et connecter les directeurs de festivals et de marchés, les programmateurs et les leaders de l’industrie.

 

Le Pavillon Tunisien :

La rumeur dit que le CNCI va également organiser des évènements dans le pavillon tunisien au Village International du Festival de Cannes. Mais malheureusement rien n’a encore été annoncé officiellement.

 

Neïla Driss

 

Tags: Cannes 2023Cinéma arabeFestival de Cannes
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