Que celui ou celle qui n’a jamais rĂŞvĂ© devant les vitrines de Baby me jette la première pierre !
Cette enseigne de jouets pour enfants Ă©tait en effet un lieu essentiel des annĂ©es cinquante et soixante et continue aujourd’hui encore Ă combler les dĂ©sirs des gosses.
C’est avec une grande nostalgie que j’ai fait quelques pas dans le passage Benevent qui relie les rues Amilcar et Charles de Gaulle. En apparence, malgrĂ© le passage des ans, rien ne semble avoir bougĂ©.
Chez Baby, les vitrines sont simplement plus petites et le magasin a perdu en surface.
Mais en un dĂ©clic, le souvenir est remontĂ© : celui des trains Ă©lectriques, des tenues de Zorro et des centaines de jeux d’une Ă©poque rĂ©volue.
Comme pour un retour aux sources, la magie Baby a opéré et les yeux de la mémoire ont retrouvé leurs repères.
Qui se souvient encore de Baby ? Qui a gardĂ© la mĂ©moire de ce paradis des enfants? Qui se souvient encore des mille jouets de l’enfance ?
