De nouveau, la journée du vendredi est accompagnée d’une inquiétude de violence salafiste et d’un déploiement de force qui donne aux alentours de certaines mosquées et ambassades des allures d’état de siège (maintenu jusqu’à fin octobre).
Jusqu’à quand allons-nous nous taire devant cette déformation totale et criminelle de l’esprit du vendredi, jour de prière et de paix ?
N’est-ce pas une atteinte au sacré lorsque des activistes politiques cachés derrière la religion dénaturent l’esprit du vendredi, jour saint en Islam ?
La violence et la haine sont montées de plusieurs crans depuis quelques semaines et le doute persiste quant à la réelle volonté du gouvernement d’attaquer le mal à la racine.
L’insécurité et la peur s’installent de manière visible sur fond de connivences avérées entre des islamistes qui se disent modérés et leurs épouvantails radicaux qu’ils semblent manipuler pour terroriser un peuple qui, lui, est véritablement tolérant, modéré, besogneux et pacifique.