Sur l’avenue de la Liberté, ce qui fut une villa splendide est devenue aujourd’hui une ruine abandonnée depuis des années.
Et pourtant, cet édifice qui aujourd’hui menace ruine, appartient au Domaine de l’État, précisément au patrimoine du ministère des Affaires culturelles qui y avait installé le Comité culturel national et la rédaction de la revue La Vie culturelle.
Cette villa de maître tombe en ruines et il est étrange que personne ne s’en soucie. D’ailleurs, beaucoup de villas des années trente qui longent cette avenue de la Liberté ont cédé leur emplacement à des immeubles sans âme, juste fonctionnels et sans aucune envergure esthétique.