Parfois, une image vaut mille mots. Certaines images résument en effet nos pensées et nos attitudes augurales.
Dans nos traditions, le poisson est en effet un signe propitiatoire que nous retrouvons partout.
Sur le seuil de nos maisons, un poisson est là pour nous protéger symboliquement.
Il est souvent associé à une « khomsa », que nous nommons aussi « main de Fatma ».
Invoqué silencieusement, ce porte-bonheur compte parmi nos amulettes et talismans les plus usités.
En cette période difficile, ce recours compte autant que tous les gestes auguraux ou de protection que tous les Tunisiens font depuis la nuit des temps.
Comme nous disons depuis toujours « El hout alikom »!