Selon un rapport du Centre de Tunis pour la liberté de la presse (CTLP), 22 journalistes, dont 5 femmes et 17 hommes ont été agressés en mai dernier.
Le CTLP a recensé des agressions physiques, des entraves lors d’exercices professionnels, des poursuites judiciaires et des cas d’harcèlement. Les journalistes agressés travaillent pour des chaînes de télévision, des radios, des journaux, ainsi que des agences de presse.
Parmi les agresseurs, les forces de l’ordre se placent en tête avec 3 cas, suivies des fonctionnaires publics comptabilisant 2 cas, et des citoyens et des administrations médiatiques avec 1 cas, toujours d’après ce même rapport.