Le syndicat nationale des journalistes tunisiens (SNJT) a accueilli, ce mardi 3 mai 2016, à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse, des membres des familles des deux journalistes Sofiene Chourabi et Nadhir Ktari, disparus depuis septembre 2014 en Libye.
Pour la deuxième année consécutive, le SNJT célèbre la journée de la liberté de la presse sous le signe de « Nadhir et Sofiène, nous ne vous oublions pas ».
Le président du SNJT, Néji Bghouri, a affirmé que l’affaire de Sofiène Chourabi et Nadhir Katri est une question « primordiale » et « demeurera à l’ordre du jour (…) tant qu’ils ne seront pas de retour », rapporte la TAP.
A l’occasion de cette journée, le chef du gouvernement Habib Essid a, par ailleurs, réaffirmé hier, lundi 2 mai, sa solidarité et son soutien aux familles des deux journalistes, indiquant que les circonstances de leur disparition en Libye doivent être révélées.
Habib Essid a souligné que la liberté de la presse est un acquis important de la Révolution et que son gouvernement œuvrera à consolider ce droit et à le préserver.
K.A.