Le chef du gouvernement Habib Essid a déclaré, mardi 9 février, en marge de la réunion de la cellule de coordination sécuritaire, qu’il faut prendre les mesures nécessaires en cas d’intervention militaire étrangère contre l’organisation terroriste Daech en Libye.
Il a dans ce sens fait savoir que cette probable intervention aura des répercussions négatives sur la Tunisie.
Rappelons que la cellule de coordination sécuritaire avait décidé mardi 9 février 2016, le renforcement de la présence militaire et sécuritaire sur la frontière tuniso-libyenne.
Cette décision avait été prise après avoir examiné la situation sécuritaire dans le pays et les derniers développements en Libye à la lumière de la prolifération du groupe Daech dans ce pays.
KJ
Commentaires