Lors des premiers matches de la Coupe du monde, spectateurs et téléspectateurs ont relevé quelque chose d’inhabituel, le temps additionnel à rallonge qui a même atteint 27 minutes lors du deuxième match, hier, entre l’Angleterre et l’Iran (6-2).
Si le temps additionnel de ce match en particulier reste lié aux circonstances de ce match avec la blessure puis la sortie du gardien iranien, il a aussi obéi à des directives de la FIFA.
En effet, les temps additionnels sont assez importants, depuis le début de la Coupe du monde avec 27 minutes ajoutées aux 90 minutes initiales lors du match entre l’Angleterre et l’Iran, 10 minutes de plus entre le Sénégal et les Pays-Bas et 9 entre les Etats-Unis et le Pays de Galles.
Les nouvelles directives de la FIFA, applicables pour Coupe du monde, imposent aux arbitres le décompter de tout temps perdu pendant les changements, les fautes, les touches, les corners, les éventuelles simulations, les célébrations de buts, les soins médicaux, la VAR… pour obtenir un maximum de temps de jeu réels.
Tout cela doit être compensé, selon les consignes de la FIFA afin d’éviter les matchs à 42, 43, 44 minutes de temps effectif. Voilà pourquoi il n’est pas étrange de voir 8, 9, voire 10 minutes de temps additionnel.