Aujourd’hui, nous devrions tous à un moment ou un autre de la journée, avoir un geste citoyen, un moment de recueillement à la mémoire de tous ceux qui ont été victimes de la violence politique et du terrorisme.
Ils sont nombreux les soldats, gardes nationaux et policiers dont les familles connaissent le deuil, après la terreur au Chaambi ou à Goubellat. Souvenez-vous de Socrate Charni et tous ses camarades…
Comment ne pas avoir une pensée aussi pour Chokri Belaid et Mohamed Brahmi tombés sous les balles de la violence la plus abjecte ?
Pour bien marquer qu’ils vivent en nos cœurs, respectons une minute de silence en notre for intérieur et invitons tous nos proches à le faire. Car 2013 fut une année meurtrière.
Ensuite, le devoir de mémoire accompli, nous pourrons revenir à la fête. Car un peuple qui ne sait pas chanter, un peuple qui ne sait pas danser, ne sait pas lutter.
Ceci est un vœu pour tourner la page sur cette année brutale qui a vu la violence politique faire irruption dans nos vies.