Durant les années Troika, la prière de Aid el Fitr avait souvent défrayé la chronique, avec des célébrations qui avaient eu lieu à la plage, dans les jardins publics et même dans la rue.
Cette tendance est actuellement maitrisée par le ministère de l’Intérieur qui n’a pas accordé d’autorisations en ce sens aux nombreuses associations coraniques qui en ont fait la demande.
Le motif invoqué pour ces refus a trait à la sécurité des fidèles et n’avance pas d’autres arguments qui pourraient être nombreux pour interdire pareilles manifestations.
Ainsi, pour cet Aid, le domaine public restera ouvert à tous alors que les prières n’auront pour théâtre que les mosquées.
H.B.
