Encore une fois la très conversée Nadia Akacha est au cœur de la tourmente. Cette fois-ci, ce sont de fausses publications Twitter qui la ciblent.
L’ancienne cheffe du cabinet présidentiel Nadia Akacha, réfugiée en France, ne quitte presque pas la scène médiatique. Dans la soirée d’hier, mardi 13 juin, un compte Twitter portant son nom et vérifié par la plateforme, évoque de graves accusations.
Sitôt avertie, la concernée s’est désengagée de toutes responsabilités comme peuvent le confirmer nos confrères de Radio IFM.
La concernée a nié tout en bloc affirmant qu’elle n’a de lien ni avec ce compte ni avec ces accusations et a, par conséquent, démenti être à l’origine de ces accusations.
Au fait, ce n’est pas pour la première fois que Nadida Akacha se retrouve au cœur de la tourmente. Elle est d’ailleurs poursuivie dans le cadre d’une affaire de complot contre la sûreté de l’Etat, pour laquelle elle a pris la fuite et s’est réfugiée en France.
Alors qu’elle a pris l’habitude de ne s’exprimer que via son compte Facebook, Nadia Akacha a, à maintes reprises, promis de tout déballer concernant son ancienne mission en tant que cheffe du cabinet présidentiel.
« Une fois de plus, mon nom figure sur une liste composée de personnes auxquelles rien ne me lie. Depuis ma démission, j’ai préféré respecter le devoir de réserve, et je me suis éloignée pour plusieurs raisons, mais je reviendrai et je révèlerai tout ce que je sais pour que les Tunisiens sachent qui est le traître, qui est le conspirateur et qui est l’imposteur », avait-elle affirmé, le 31 mai dernier.
Nadia Akacha a été condamnée en janvier dernier à quatorze mois de prison par contumace. Il était question de l’affaire des fuites des enregistrements vocaux suite à une plainte déposée par la belle sœur du Président de la république, l’avocate, Atka Chebil.
Le Parquet auprès du Tribunal de Première Instance de Tunis a décidé, le 4 mai 2022 de confier à la cellule nationale la recherche dans les crimes de terrorisme et dans les crimes portant atteinte à l’intégrité du territoire national, une enquête quant au contenu des enregistrements sonores diffusés sur réseaux sociaux, attribué à l’ancienne cheffe du cabinet présidentiel, Nadia Akacha.
Nadia Akacha, était au cœur d’une polémique sur des conversations fuitées qui lui seraient attribuées,