Dans un communiqué publié vendredi 18 octobre, le ministère de l’Intérieur a annoncé qu’il ouvrira des procédures légales à l’encontre de ceux qui « portent atteinte, remettent en question ou attribuent indûment » des faits à ses structures, appelant à s’abstenir de l’impliquer dans des tiraillements afin qu’il mène à bien les tâches qui lui sont confiées.
Cité par l’agence TAP le ministère a relevé que des « sites web et des médias avaient récemment publié des déclarations de certaines parties d’appartenance et de qualités différentes, dont certaines considérées comme dangereuses pour la sécurité et le maintien de l’ordre public, la protection des personnes, des institutions, des biens et l’application de la loi ».
Le Ministère de l’intérieur a fait remarquer que de « nombreuses déclarations de certaines parties incluaient des allégations malveillantes et des atteintes à la sécurité de l’Etat et des intérêts supérieurs du pays, ainsi qu’une violation flagrante de la législation en vigueur, en particulier des articles 54 et 55 sur la liberté de la presse, l’imprimerie et l’édition ainsi que des dispositions du code pénal sur la diffamation, les mensonges et l’attribution de comportement infondé à un agent public ».