Ou du moins c’est ce qu’a affirmé Mr Mustapaha Ben Jaafar, président de l’assemblée constituante à l’AFP.(information relayée par le site Romandie)
» Ce n’est pas parce que nous sommes d’accord avec les atteintes au sacré, mais parce que le sacré est très très difficile à définir » a-t-il expliqué.
Inscrire la criminalisation de l’atteinte au sacré était l’une des revendications majeures des islamistes au sein de l’assemblée constituante.
Si les dires de Mr Ben Jaafar se confirment, c’est encore une bataille perdue pour le parti majoritaire, après celle de l’inscription de la chariaa comme source de législation.