Un agent de police, dans la localitĂ© de Ghardimaou, a Ă©tĂ© violentĂ©, dans la nuit de jeudi 8 mars Ă vendredi, avec des bâtons et du gaz paralysant, par deux individus appartenant au courant salafi, nous apprend aujourd’hui la TAP.
L’agression subie par l’agent de la police a Ă©tĂ© d’une extrĂŞme violence, prĂ©cise l’agence. La victime a Ă©tĂ© transportĂ©e d’urgence Ă l’hĂ´pital le plus proche alors que ses deux agresseurs connus dans la localitĂ© ont pris la poudre d’escampette.
En effet, il s’agit de deux rĂ©cidivistes puisque ces deux mĂŞmes individus ont agressĂ©, mercredi dernier, un inspecteur de police, dans la mĂŞme rĂ©gion. Une agression qui avait dĂ©jĂ suscitĂ© une grande indignation chez les forces de l’ordre et qui entre dans le cadre d’un règlement de compte, ajoute la mĂŞme source.
Si ce n’est pas Ă la facultĂ© des lettres, des arts et des humanitĂ©s de La Manouba, c’est Ă Jendouba que les salafistes arrivent Ă agresser sans pour autant se faire arrĂŞter ! Consigne du gouvernement provisoire de ne pas les toucher par peur de leurs rĂ©actions terroristes ou outil humain entre les mains du parti de l’État afin qu’il arrive Ă ses fins ?
