La Cour d’Appel de Tunis vient a condamné le membre des Ligues de protection de la révolution, Imed Dghij, à trois mois de prison avec sursis et 300 dinars, pour avoir menacé le président de la République Béji Caïd Essebsi lors de la campagne électorale de 2014.
Le verdict a été prononcé depuis le 30 mai 2016, par le tribunal de 1ère instance de Tunis, et la Cour d’Appel vient donc de le maintenir.
Rappelons qu’en décembre dernier, Dghij avait été arrêté puis libéré, pour avoir publié sur son compte Facebook un statut dans lequel il a appelé à organiser une protestation le 14 janvier 2017 pour la dissolution du parlement et l’organisation d’élections anticipées.
DA