Bouffée délirante sur les prix des gâteaux de l’Aid! C’est le moins qu’on puisse dire en constatant la cherté de ces pâtisseries qui deviennent inaccessibles pour les bourses moyennes.
Cette tradition de l’Aid se maintient contre vents et marées. Toutefois, il est de plus en plus de règle d’acheter ces gâteaux si prisés.
Toutefois, avec le recul des visites familiales, les gâteaux ne font plus recette et ne constituent plus une nécessité absolue.
Beaucoup de familles préfèrent investir dans un weekend de plage plutôt que payer des sommes faramineuses pour ces gâteaux.
La désaffection grandissant, les prix s’envolent et le désamour est de mise.
Reste la solution des pâtissiers populaires pour ceux qui tiennent absolument au « hlou » de l’Aid.
Même si leurs produits sont de qualité moyenne, ils restent abordables dans un contexte général où les ménages répètent tous en chœur : « Portefeuille, mon doux souci ».