Professeur chef de service de réanimation Néonatale, à l’Hôpital militaire et membre du comité d’investigation, formé par le ministère de la Santé, Mohamed Douagi, a confirmé qu’il n’y avait pas de « médicament périmé ».
Les enquêtes préliminaires suggèrent que « l’infection s’est produite lors de la préparation de la solution, qui a été injectée dans les nourrissons», a-t-il ajouté.
Dans une déclaration accordée à l’agence TAP, le professeur a assuré que les victimes avaient déjà un état de santé « critique » car ils souffraient de problèmes de santé comme le manque de croissance puisqu’ils étaient nés avant la période normale qui est de 37 semaines.
Il a ajouté qu’aucune nouvelle infection n’a été enregistrée et que toutes les mesures de précaution ont été prises pour « limiter l’infection bactérienne ».
Rappelons qu’hier soir, le professeur Douagi a annoncé le décès d’un douzième nouveau-né à l’hôpital de la Rabta.