L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a réagi aux récentes arrestations par le biais de son porte-parole Sami Tahri.
S’exprimant dans les colonnes d’Assabah, le responsable syndical a considéré qu’actuellement, la Tunisie ne connait aucune campagne contre la corruption, mais plutôt une stratégie pour détourner l’attention des Tunisiens.
« Si le pouvoir veut réellement poursuivre la corruption, il doit ouvrir les grands dossiers des assassinats politiques », a-t-il dit.
Pour Tahri, « certaines personnes arrêtées seront par la suite libérées et seront considérées comme des héros et des victimes ».