Près de sept mille associations ont été créées ces trois dernières années, a indiqué Slim Briki, directeur général des associations et des partis politiques au sein de la présidence du gouvernement.
Il a signalé, par ailleurs, dans une interview publiée aujourd’hui par Al Chourouk, que sur les 17.000 associations que compte la Tunisie, 300 seulement ont révélé leurs sources de financement.
D’autres infractions ont été relevées, a précisé Slim Briki, affirmant que des poursuites judiciaires ont été engagées.
Ces infractions portent sur des collectes de dons sans autorisation, la non-déclaration de l’obtention d’un financement étranger, la non-déclaration de l’obtention d’un financement public, non-conformité des statuts avec le décret-loi n°88 relatif aux associations, ainsi que la violation du cahier des charges en ce qui concerne les jardins d’enfants.