Selon des analyses effectuées sur des prélèvements des eaux de puits dans les zones d’Al Attar et celles proches de la décharge de Borj Chakir, sont impropres ni à la consommation ni à l’irrigation.
En effet, selon la chercheur en environnement, Dorsaf Ben Ismail, ces prélèvements effectués entre 2014 et 2016, prouvent que les eaux profondes dans les zones précitées, sont contaminées et leur consommation peut engendrer des maladies respiratoires et dermatologiques.
Toujours selon ses propos, recueillis par Shems FM, des prélèvements ont été effectués même des eaux distribuées par la SONEDE.
Selon ses recherches, les concentrations en nitrate, en chlorure et en cuivre dépassent les normes. Elle a expliqué ceci par la pollution issue de la décharge en question.
KJ
