La députée au sein de l’ARP, Bochra Belhaj Hmida a fait savoir que la loi de lutte contre la violence à l’égard des femmes est la résultante de 10 ans de travail, rappelant que plusieurs études estiment que 50% des femmes tunisiennes ont été victimes, à un certain moment, de violence.
Invitée sur Shems fm, la députée a déclaré que le « combat » entre la femme et l »homme ne réside pas en cette loi, mais plutôt en la société qui ne cesse de soutenir la violence contre la femme sous prétexte de son éducation.
« C’est pour cette raison que la mise en place d’un cadre légal luttant contre la violence a été nécessaire, comme première étape. Toutefois, la solution la plus radicale à ce problème reste l’éducation au sein de la famille, dès le plus jeune âge », a-t-elle ajouté.