Tunis | La 15ème édition du festival cinéma de la paix se tiendra du 25 au 29 mars à la salle de cinéma le Mondial à Tunis.
Sept films seront projetés durant ce festival organisé par la fédération tunisienne des ciné-clubs (FTCC). D’autres projections de films auront lieu dans les salles de cinéma de Jerissa et du basilique au Kef du 23 au 25 mars ainsi que la maison de culture Cheikh Idriss à Bizerte du 28 au 30 mars.
Programme
Mercredi 25 mars (18h00) : Naguima (1h17min), film dramatique kazakh réalisé par Zhanna Issabayeva
[quote_box_center]Synopsis : Kazakhstan de nos jours. Naguima, jeune femme réservée, abandonnée à la naissance, partage une chambre dans un quartier-dortoir d’Almaty avec sa sœur de cœur, Ania, rencontrée à l’orphelinat. Enceinte, Ania meurt lors de l’accouchement. A nouveau seule, Naguima va tenter de reformer une famille…[/quote_box_center]
Jeudi 26 mars (15h00) : Shirley Adams (1h32min), film dramatique américano-britannique, sud-africain, réalisé par Oliver Hermanus
[quote_box_center]Synopsis : Shirley Adams a été abandonnée par son mari et Donovan, son seul fils, est partiellement paralysé après avoir reçu une balle dans le cou sur le chemin de l’école. Shirley Adams est l’autre face de la guerre des gangs, ce que ne disent ou ne montrent jamais les films de gangsters. C’est la vie d’hommes et de femmes, de jeunes laissés-pour-compte. Sans fausse gloire ou exaltation de la course aux petits ou grands trafics. C’est aussi la misère d’une mère qui tente de se raccrocher au rare bonheur que procure le sourire d’un fils blessé à mort.[/quote_box_center]
(18h00) : Mohammad sauvé des eaux (1h33min), documentaire franco-égyptien réalisé par Safaa Fathy
[quote_box_center]Synopsis : La cinéaste et poétesse Safaa Fathy : « Mon frère vivait en Haute-Egypte et souffrait d’insuffisance rénale. Ce film raconte son histoire, aborde les rapports au corps, à la religion, à la famille, mais aussi les bouleversements d’un pays confronté aux changements les plus rapides et aux contradictions les plus profondes de ses cinq mille ans d’histoire. »[/quote_box_center]
Vendredi 27 mars (15h00) : Ces filles là (1h08min), documentaire égyptien réalisé par Tahani Rached
[quote_box_center]Synopsis : Un documentaire qui nous plonge dans l’univers d’adolescentes qui vivent dans les rues du Caire, une rue qui est tout à la fois un espace de violence, d’oppression et de liberté. Y vivre, c’est vivre au coeur de la violence, obligatoirement dans l’instant présent, en dehors de toutes normes et prescriptions, mais toujours au gré de son coeur et de ses désirs. Marginalisées et rejetées, Tata, Mariam, Abir et Donia sont étonnement modernes et libres dans une société si prude et normative. L’énergie, le goût et la rage de vivre de ces filles-là, leurs rires et leurs mimiques, nous donnent à découvrir un monde insoupçonné.[/quote_box_center]
(18h00) : « Le rêve est fini, الحلم إنتهى », documentaire tunisien
Samedi 28 mars (15h00) : The Wanted 18, documentaire réalisé par Amer Shomali
[quote_box_center]Synopsis : Utilisant la technique du stop-motion, le dessin et des interviews, les réalisateurs Amer Shomali et Paul Cowan recréent l’incroyable histoire vraie de la première Intifada palestinienne : la poursuite par l’armée israélienne de 18 vaches, dont la production indépendante de lait dans une ferme collective palestinienne fut déclarée “une menace pour la sécurité nationale de l’Etat d’Israël ».[/quote_box_center]
(18h00) : Ya oulidi: le prix de la douleur (80min), réalisé par Joseph El Aouadi-Marando
[quote_box_center]Synopsis : Ya oulidi ! (« Mon fils ! ») est le titre d’une pièce de théâtre et d’une chanson écrites et jouées par des jeunes de la cité des Flamants dans les Quartiers Nord pour transformer leur rage en énergie positive… 30 ans après, Hassan Ben Mohamed, le petit frère de Lahouari tenu à l’écart de ce drame pour ne pas le traumatiser, mène son enquête pour restituer cette histoire et ses prolongements jusqu’à aujourd’hui…[/quote_box_center]
Dimanche 29 mars : Clôture, concert musical.