Le court métrage Ikhwène (Fraternité), écrit et réalisé par la tunisienne Meryam Joobeur a remporté le Prix du meilleur court métrage canadien (d’une valeur de 10 000$) au Festival International du Film de Toronto (TIFF). Ce film est coproduit par la Tunisie, le Canada, la Suède et le Qatar.
Synopsis
Mohamed est un berger endurci qui vit dans la campagne tunisienne avec sa femme et ses deux fils. Sa vie est ébranlée lorsque son fils aîné, Malik, revient secrètement de Syrie avec une nouvelle épouse nommée Rym, une mystérieuse Syrienne qui porte le niqab. La mère et les jeunes frères de Malik sont prompts à accepter le retour de Malik, mais Mohamed est mal à l’aise avec sa présence et son influence radicale potentielle sur la famille. La tension entre le père et le fils s’étend sur trois jours jusqu’à ce qu’il atteigne un point de rupture.
Le jury lui a remis ce prix parce que «Le film a été magistralement exécuté, avec des idées audacieuses, des textures riches et des observations de personnages nuancées, jouées par des acteurs inoubliables. Le film a exploré avec succès des thèmes personnels et politiques complexes avec compassion pour ses personnages. En utilisant le prisme intime d’une famille tunisienne, le film a été réalisé avec un sens de la maturité qui laisse entrevoir un brillant avenir pour Meryam Joobeur ».
Neïla Driss
Le court métrage Ikhwène (Fraternité), écrit et réalisé par la tunisienne Meryam Joobeur a remporté le Prix du meilleur court métrage canadien (d’une valeur de 10 000$) au Festival International du Film de Toronto (TIFF). Ce film est coproduit par la Tunisie, le Canada, la Suède et le Qatar.
Synopsis
Mohamed est un berger endurci qui vit dans la campagne tunisienne avec sa femme et ses deux fils. Sa vie est ébranlée lorsque son fils aîné, Malik, revient secrètement de Syrie avec une nouvelle épouse nommée Rym, une mystérieuse Syrienne qui porte le niqab. La mère et les jeunes frères de Malik sont prompts à accepter le retour de Malik, mais Mohamed est mal à l’aise avec sa présence et son influence radicale potentielle sur la famille. La tension entre le père et le fils s’étend sur trois jours jusqu’à ce qu’il atteigne un point de rupture.
Le jury lui a remis ce prix parce que «Le film a été magistralement exécuté, avec des idées audacieuses, des textures riches et des observations de personnages nuancées, jouées par des acteurs inoubliables. Le film a exploré avec succès des thèmes personnels et politiques complexes avec compassion pour ses personnages. En utilisant le prisme intime d’une famille tunisienne, le film a été réalisé avec un sens de la maturité qui laisse entrevoir un brillant avenir pour Meryam Joobeur ».
Neïla Driss
