• Accueil
  • Contact
webdo
FR AR
  • Accueil
  • National
  • Divers
  • regions
  • Sport
  • Culture
  • Chroniques
    • Everyday Tunisians
    • Edito
  • International
No Result
View All Result
  • Accueil
  • National
  • Divers
  • regions
  • Sport
  • Culture
  • Chroniques
    • Everyday Tunisians
    • Edito
  • International
No Result
View All Result
FR AR
webdo
No Result
View All Result
Accueil Culture

RSIFF 2024 – En conversation avec Kareena Kapoor

par Neïla DRISS
vendredi 6 décembre 2024 19:00
dans Culture
RSIFF 2024 – En conversation avec Kareena Kapoor
Share on FacebookShare on Twitter

La quatrième édition du Festival International du Film de la Mer Rouge, qui se tient du 5 au 14 décembre 2024 à Djeddah, a été marquée par la présence de l’éminente actrice indienne Kareena Kapoor. Invitée spéciale, elle a participé à une conversation avec le public, partageant des anecdotes sur sa carrière, sa vie personnelle et sa vision du cinéma.

Une héritière d’une dynastie cinématographique

Descendante de la famille Kapoor, l’une des plus prestigieuses dynasties de Bollywood, Kareena Kapoor a grandi dans un univers où le cinéma était une évidence. Son grand-père, Raj Kapoor, est considéré comme l’un des pères fondateurs de Bollywood avec des films emblématiques tels que Awara et Shree 420. « Mon grand-père était un visionnaire. Ses films continuent d’inspirer des générations entières. Faire partie de cet héritage est un privilège immense, mais aussi une responsabilité », a-t-elle confié.

Ses parents, Randhir Kapoor et Babita, ainsi que sa sœur aînée, Karisma Kapoor, ont également marqué l’industrie indienne. Kareena a expliqué que ses parents avaient été ses premiers soutiens : « Sans eux, je n’aurais jamais pu réaliser mes rêves. Ils m’ont transmis des valeurs fortes et m’ont encouragée à être la meilleure version de moi-même. »

Une inspiration familiale et au-delà

Interrogée sur ses inspirations, Kareena Kapoor a déclaré : « Oui, bien sûr, des acteurs comme Kajol, ou d’autres qui ont préparé le chemin pour nous. J’aime les films de ma mère. Et à un moment elle a été un exemple pour moi et je voulais suivre ses pas. »

Elle a ajouté : « J’ai voulu être actrice, non pas pour la célébrité, mais pour divertir et influencer les gens, les pousser à réfléchir. La célébrité en soi, ce n’est pas important. Et puis, je voulais travailler avec des acteurs comme Shah Rukh Khan, Hrithik Roshan… En plus, ils poussent à évoluer. J’aime travailler avec ces acteurs et apprendre d’eux. »

 

 

Une carrière diversifiée et évolutive

Avec une carrière s’étalant sur 25 ans et 74 films à son actif, Kareena Kapoor est connue pour la diversité de ses rôles. Parmi ses interprétations les plus emblématiques, elle a cité Kabhi Khushi Kabhie Gham (La famille indienne), un film qui reste gravé dans la mémoire collective : « Ce genre de films, qui mettent en avant les valeurs familiales, ne se fait presque plus aujourd’hui. Ils ont une magie particulière, et j’aimerais en voir davantage. »

Elle a également parlé de Jab We Met, une comédie romantique devenue culte : « Ce personnage était un modèle de confiance et de force. Je ne pensais pas qu’il résonnerait autant chez les spectateurs, surtout après 20 ans. Chaque femme se retrouve un peu dans cette histoire. »

Plus récemment, son rôle dans The Buckingham Murders a été très remarqué. Ce film bilingue, en collaboration avec des talents britanniques, a exploré de nouvelles frontières narratives : « Ce personnage était profondément sincère, et j’ai voulu lui rendre justice. C’était un projet passionnant qui m’a permis de repousser mes limites. »

L’art de passer d’un personnage à un autre

Interrogée sur sa capacité à aller d’un personnage à un autre, Kareena a répondu : « Cela a toujours fait partie de ma vie, et j’ai grandi ainsi. J’adore depuis ma jeunesse. J’aime tous mes personnages. Avant, je pouvais tourner sept à huit films par an. Ce n’est plus le cas maintenant, mais jouer est mon oxygène. »

 

 

Entre Bollywood et films d’auteur

Lors de la conversation, Kareena Kapoor a évoqué l’équilibre entre les films commerciaux de Bollywood et les films d’auteur. « Les grands films commerciaux sont essentiels pour toucher un public large, mais les films d’auteur ont leur propre importance. Ils permettent d’explorer des sujets plus profonds et de raconter des histoires différentes. J’aime m’aventurer dans ces deux mondes. »

Elle a aussi mentionné Aamir Khan, avec qui elle a collaboré sur plusieurs projets : « Aamir a une façon de travailler unique. Il accorde une importance particulière à la préparation, et j’ai beaucoup appris de lui. Travailler avec lui a toujours été une expérience enrichissante, et je suis fière de nos films ensemble. J’ai été très heureuse hier de le voir honoré. Aamir Khan fait partie de ceux qui ont mis le cinéma indien sur une voie extraordinaire, et je pense que mes plus beaux films ont été avec lui. J’ai fait trois films avec lui et j’aimerais en faire davantage. »

Maternité et équilibre personnel

Au-delà de sa carrière, Kareena Kapoor a partagé sa vision de la maternité et de la vie de famille. Mère de deux garçons, elle a expliqué : « La maternité m’a appris l’amour inconditionnel et la patience. Mes enfants sont encore jeunes, et je préfère qu’ils me voient d’abord comme leur mère. Je ne permets pas encore à mes enfants de voir tous mes films. Ils sont encore jeunes. Je veux qu’ils grandissent avec de l’amour et de la responsabilité. Ils vivent avec la mère et pas l’actrice. »

Elle a également salué son mari, Saif Ali Khan, pour son soutien : « Saif est un père très présent. Il m’aide beaucoup avec les enfants et est souvent celui qui apaise les conflits entre eux. Il me soutient tout le temps. »

 

 

Un échange enrichissant entre artistes

Interrogée sur sa relation professionnelle avec son mari, elle a confié : « Oui, nous parlons ensemble, nous discutons de nos textes. Mais nous avons chacun nos propres idées, et chacun fait ses propres choix. Mais nos discussions sont intéressantes. C’est en même temps enrichissant et divertissant. »

Une passion inaltérable pour le cinéma

Malgré les années, Kareena Kapoor reste passionnée par son métier. Elle a révélé qu’elle était devenue plus sélective dans le choix de ses rôles : « Avant, je pouvais tourner sept à huit films par an. Aujourd’hui, je préfère prendre mon temps et choisir des projets qui résonnent en moi. Le cinéma est mon oxygène, et je veux continuer à explorer des rôles différents. »

Elle a également parlé de son film Crew, une comédie qu’elle a coproduite : « J’avais déjà travaillé avec le réalisateur, et le scénario m’a immédiatement plu. L’idée de travailler avec une équipe majoritairement féminine était très stimulante. L’énergie sur le plateau était extraordinaire. »

Un message pour l’Arabie Saoudite

Enfin, Kareena Kapoor a exprimé son enthousiasme pour le développement du cinéma en Arabie Saoudite, où les salles ont ouvert en 2018 : « Je suis ravie que le cinéma ait trouvé sa place ici. C’est un art qui ouvre les esprits et les cœurs. Ce festival est une belle initiative pour mettre en valeur les talents locaux et internationaux. »

Neïla Driss

La quatrième édition du Festival International du Film de la Mer Rouge, qui se tient du 5 au 14 décembre 2024 à Djeddah, a été marquée par la présence de l’éminente actrice indienne Kareena Kapoor. Invitée spéciale, elle a participé à une conversation avec le public, partageant des anecdotes sur sa carrière, sa vie personnelle et sa vision du cinéma.

Une héritière d’une dynastie cinématographique

Descendante de la famille Kapoor, l’une des plus prestigieuses dynasties de Bollywood, Kareena Kapoor a grandi dans un univers où le cinéma était une évidence. Son grand-père, Raj Kapoor, est considéré comme l’un des pères fondateurs de Bollywood avec des films emblématiques tels que Awara et Shree 420. « Mon grand-père était un visionnaire. Ses films continuent d’inspirer des générations entières. Faire partie de cet héritage est un privilège immense, mais aussi une responsabilité », a-t-elle confié.

Ses parents, Randhir Kapoor et Babita, ainsi que sa sœur aînée, Karisma Kapoor, ont également marqué l’industrie indienne. Kareena a expliqué que ses parents avaient été ses premiers soutiens : « Sans eux, je n’aurais jamais pu réaliser mes rêves. Ils m’ont transmis des valeurs fortes et m’ont encouragée à être la meilleure version de moi-même. »

Une inspiration familiale et au-delà

Interrogée sur ses inspirations, Kareena Kapoor a déclaré : « Oui, bien sûr, des acteurs comme Kajol, ou d’autres qui ont préparé le chemin pour nous. J’aime les films de ma mère. Et à un moment elle a été un exemple pour moi et je voulais suivre ses pas. »

Elle a ajouté : « J’ai voulu être actrice, non pas pour la célébrité, mais pour divertir et influencer les gens, les pousser à réfléchir. La célébrité en soi, ce n’est pas important. Et puis, je voulais travailler avec des acteurs comme Shah Rukh Khan, Hrithik Roshan… En plus, ils poussent à évoluer. J’aime travailler avec ces acteurs et apprendre d’eux. »

 

 

Une carrière diversifiée et évolutive

Avec une carrière s’étalant sur 25 ans et 74 films à son actif, Kareena Kapoor est connue pour la diversité de ses rôles. Parmi ses interprétations les plus emblématiques, elle a cité Kabhi Khushi Kabhie Gham (La famille indienne), un film qui reste gravé dans la mémoire collective : « Ce genre de films, qui mettent en avant les valeurs familiales, ne se fait presque plus aujourd’hui. Ils ont une magie particulière, et j’aimerais en voir davantage. »

Elle a également parlé de Jab We Met, une comédie romantique devenue culte : « Ce personnage était un modèle de confiance et de force. Je ne pensais pas qu’il résonnerait autant chez les spectateurs, surtout après 20 ans. Chaque femme se retrouve un peu dans cette histoire. »

Plus récemment, son rôle dans The Buckingham Murders a été très remarqué. Ce film bilingue, en collaboration avec des talents britanniques, a exploré de nouvelles frontières narratives : « Ce personnage était profondément sincère, et j’ai voulu lui rendre justice. C’était un projet passionnant qui m’a permis de repousser mes limites. »

L’art de passer d’un personnage à un autre

Interrogée sur sa capacité à aller d’un personnage à un autre, Kareena a répondu : « Cela a toujours fait partie de ma vie, et j’ai grandi ainsi. J’adore depuis ma jeunesse. J’aime tous mes personnages. Avant, je pouvais tourner sept à huit films par an. Ce n’est plus le cas maintenant, mais jouer est mon oxygène. »

 

 

Entre Bollywood et films d’auteur

Lors de la conversation, Kareena Kapoor a évoqué l’équilibre entre les films commerciaux de Bollywood et les films d’auteur. « Les grands films commerciaux sont essentiels pour toucher un public large, mais les films d’auteur ont leur propre importance. Ils permettent d’explorer des sujets plus profonds et de raconter des histoires différentes. J’aime m’aventurer dans ces deux mondes. »

Elle a aussi mentionné Aamir Khan, avec qui elle a collaboré sur plusieurs projets : « Aamir a une façon de travailler unique. Il accorde une importance particulière à la préparation, et j’ai beaucoup appris de lui. Travailler avec lui a toujours été une expérience enrichissante, et je suis fière de nos films ensemble. J’ai été très heureuse hier de le voir honoré. Aamir Khan fait partie de ceux qui ont mis le cinéma indien sur une voie extraordinaire, et je pense que mes plus beaux films ont été avec lui. J’ai fait trois films avec lui et j’aimerais en faire davantage. »

Maternité et équilibre personnel

Au-delà de sa carrière, Kareena Kapoor a partagé sa vision de la maternité et de la vie de famille. Mère de deux garçons, elle a expliqué : « La maternité m’a appris l’amour inconditionnel et la patience. Mes enfants sont encore jeunes, et je préfère qu’ils me voient d’abord comme leur mère. Je ne permets pas encore à mes enfants de voir tous mes films. Ils sont encore jeunes. Je veux qu’ils grandissent avec de l’amour et de la responsabilité. Ils vivent avec la mère et pas l’actrice. »

Elle a également salué son mari, Saif Ali Khan, pour son soutien : « Saif est un père très présent. Il m’aide beaucoup avec les enfants et est souvent celui qui apaise les conflits entre eux. Il me soutient tout le temps. »

 

 

Un échange enrichissant entre artistes

Interrogée sur sa relation professionnelle avec son mari, elle a confié : « Oui, nous parlons ensemble, nous discutons de nos textes. Mais nous avons chacun nos propres idées, et chacun fait ses propres choix. Mais nos discussions sont intéressantes. C’est en même temps enrichissant et divertissant. »

Une passion inaltérable pour le cinéma

Malgré les années, Kareena Kapoor reste passionnée par son métier. Elle a révélé qu’elle était devenue plus sélective dans le choix de ses rôles : « Avant, je pouvais tourner sept à huit films par an. Aujourd’hui, je préfère prendre mon temps et choisir des projets qui résonnent en moi. Le cinéma est mon oxygène, et je veux continuer à explorer des rôles différents. »

Elle a également parlé de son film Crew, une comédie qu’elle a coproduite : « J’avais déjà travaillé avec le réalisateur, et le scénario m’a immédiatement plu. L’idée de travailler avec une équipe majoritairement féminine était très stimulante. L’énergie sur le plateau était extraordinaire. »

Un message pour l’Arabie Saoudite

Enfin, Kareena Kapoor a exprimé son enthousiasme pour le développement du cinéma en Arabie Saoudite, où les salles ont ouvert en 2018 : « Je suis ravie que le cinéma ait trouvé sa place ici. C’est un art qui ouvre les esprits et les cœurs. Ce festival est une belle initiative pour mettre en valeur les talents locaux et internationaux. »

Neïla Driss

Tags: actriceCinémaCinéma IndienConversationFestivalFestival International du Film de la Mer RougeRed Sea International Film FestivalRSIFFRSIFF 2024
Article précédent

CAN féminine de handball : la Tunisie échoue en demi-finale

Article suivant

Tunisie : Rééchelonnement des dettes de 10 000 affiliés à la CNSS

Article suivant

Tunisie : Rééchelonnement des dettes de 10 000 affiliés à la CNSS

Laisser un commentaire

Les plus récents

Macron

Macron annonce que la France reconnaîtra l’État de Palestine en septembre

par Walid Ben Youssef
24 juillet 2025

Mohamed Brahmi

En Tunisie, douze ans après, l’affaire Mohamed Brahmi reste une plaie vive

par Ramzi Haddad
24 juillet 2025

Iran : une démocratie brisée, un régime islamique instrumentalisé ?

Iran : Une démocratie brisée, un régime islamique instrumentalisé ?

par Firas Ben Abdeltif
24 juillet 2025

Transtu nouveau bus

Tunisie : 20 bus neufs en circulation dans le Grand Tunis

par Ramzi Haddad
24 juillet 2025

Les plus consultés ( 72h )

Newsletter

Facebook Twitter Youtube RSS
webdo

Votre journal électronique de Tunis. Suivez toute l’actualité en Tunisie en temps réel : politique, société, culture, économie et plus encore. Webdo, une source fiable et indépendante au cœur de l’info.

Suivez-nous

Plan du site

  • Accueil
  • National
  • Divers
  • Régions
  • Sport
  • Culture
  • Chroniques
  • International

Tags

Algérie ARP arrestation BCT Cinéma condamnation corruption Coupe du Monde Décès Etats-Unis Festival Festival de Cannes Film FMI football france Gaza Grève guerre Iran ISIE israël Italie justice Kais Saied Libye Ligue 1 mandat de dépôt migrants Migration météo Ons Jabeur Palestine Pluie Prison présidentielle ramadan Sfax tennis Tourisme Tunis Tunisie Tunisie Telecom UE UGTT

© 2025 Webdo.tn Tous droits réservés. Réalisé par Itrend.

Logo Webdo
No Result
View All Result
  • Accueil
  • National
  • Divers
  • regions
  • Sport
  • Culture
  • Chroniques
    • Everyday Tunisians
    • Edito
  • International

© 2025 Webdo.tn Tous droits réservés. Réalisé par Itrend.