De nos jours, il existe encore quelques colonnes Morris sur les avenues de Tunis. Lorsqu’elles n’ont pas tout simplement disparues, elles ne sont plus utilisĂ©es pour l’affichage publicitaire, comme cela fut le cas dans le passĂ© proche.
D’allure cylindrique, le sommet recouvert par du bois ouvragĂ©, ces colonnes ont longtemps Ă©tĂ© le rĂ©ceptacle principal de la publicitĂ© sur nos avenues.
On les trouve sur l’avenue Bourguiba, l’avenue de France, l’avenue de Paris ou encore l’avenue des Nations-Unies. A peine une dizaine de ces colonnes ont survĂ©cu et ont l’air de ne plus servir Ă rien.
Pourtant, la municipalitĂ© pourrait leur trouver un usage ou les louer Ă une rĂ©gie publicitaire. Il semble d’ailleurs que ces colonnes sont exploitĂ©es par une agence qui se contente de les laisser en l’Ă©tat.
En effet, les colonnes Morris tunisoises ont Ă©tĂ© recouvertes par de la moquette et laissĂ©es Ă leur sort. En attendant l’idĂ©e qui les remettrait Ă l’honneur.Pourquoi d’ailleurs ne pas inviter des Ă©tudiants ou des associations Ă un concours d’idĂ©es pour leur trouver un usage ? Ou encore pourquoi n’en pas faire un support pour la publicitĂ© associative ?
En principe, les idées ne devraient pas manquer ! Toutes les idées sont bonnes à prendre pour sauver cet élément du mobilier urbain de la capitale !
